Vous imaginez les hectolitres de pétrole qu'il faudra pour démolir ce viaduc !

Les milliers d'hectolitres pour construire la jolie passerelle au-dessus du métro ?

Les milliers d'hectolitres pour transporter la terre arable ? (On la prendra où d'ailleurs ? en Forêt de Soignes ?)

Qui va payer tout ça ? S'il y a encore du pétrole pour alimenter ces armées de buldozer...
Est-ce qu'on ne pourrait pas "tout simplement" commencer par le commencement avant de tirer les plans sur la comète, n'est-ce pas dès à présent que l'on doit faire les choses. Avant de supprimer le viaduc, supprimons les bordures des pistes cyclables et les phases de feux rouge redondantes pour les cyclistes ! Je propose aussi à Monsieur Gosuin de se rendre dès aujourd'hui à son travail à pied ou à vélo, lui qui a moins de trois kilomètres pour s'y rendre...

"Personne ne nous oblige à prendre une voiture là où il est plus facile d'aller à vélo."